Omar Al Kazabri, célèbre et homme religieux de grande renommée, a vu le jour en 1974 au Maroc, mais plus précisément à Marackech, dans l’Anti-Atlas. Il illustre également, pour tous les musulmans marocains, une référence en question de religion, de récitation et d’autres références. Omar Al Kazabri, est donc un légendaire imam et réciteur marocain.
Mais avant d’arriver au sommet de la réussite, il parcourra un chemin tofu et difficile, dont le début revient à l’âge très tôt de 11 ans, où le petit Omar Al Kazabri appris et mémorisa le Saint Coran avec facilité, et cela à l’aide de son père, qui était lui-même un grand amateur de tout ce qui concerne la religion musulmane. Il fut de son fils, ce qu’il n’a pas pu faire à son plus jeune âge.
Ensuite, Omar Al Kazabri décida de continuer ses études avec toute détermination et optimisme, jusqu’à qu’il obtienne son bac au lycée prénommée « Le lycée Youssef », avec une bonne mention, et une satisfaction complète de ses espérances. Puis, ce dernier, décida de voyager en déstination de l’Arabie Saoudite, pour continuer ses études islamiques là-bas par un apprentissage meilleur des sciences islamiques (Ce qui correspond à Al Fiqh, en langue arabe). Pour approfondir davantage ses connaissances, Omar Al Kazabri assista à de divers cours en l’année 1997 dans l’institut islamique dans la ville sainte, la fameuse Mecque.
Ainsi, en ayant acquis tout ce qu’il pouvait acquérir comme expérience, il fut nommé imam de la célèbre mosquée de l’université, située à Jedda en Arabie Saoudite. Suite à cela, Omar Al Kazabri organisa publiquement une grande édition avec l’aide du grand Cheikh égyptien Ahmed Al Maâssarawi, traitant le sujet de l’achèvement des dix dernières recitations ; et tout cela, prenait place en Egypte même.
Après ce succès grandissant et apparent, Omar Al Kazabri décida de retourner définitivement à son pays d’origine, au Maroc, cinq ans après l’organisation de son édition spéciale. Malencontreusement, il y retourne, sans aucun diplôme, mais ses espérances et son espoir ne finirent pas du mois, qu’il obtint avec lui tout un bagage d’expérience islamique et coranique de grande utilité.
En outre, Omar Al Kazabri regagna la mosquée prénommée Oulfa à Casablanca au Maroc, et ce passage lui donna de la popularité, du prestige et de la renommée. Après ce court parcours, la mosquée d’Hassan II fut pour lui un moyen de prendre d’avantage d’expérience mais aussi il en acquit aussi davantage de légende et de perfection professionnellement. Par-ailleurs, des centaines de gens assistent à ses conférences dans la mosquée de Casablanca, Hassan II, et ses productions n’en finissent pas de prendre de l’envergure et de l’importance. On surnomma Omar Al Kazabri le célèbre rossignol de minbar.
Grâce à sa popularité grandissante, sa psalmodie fut diffusée pas divers chaînes télévisées, des sites internet, comme le notre, Islamzoom, mais aussi de nombreuses stations de radio. Le plus grand rêve d’Omar Al Kazabri est de montrer ses performances et ses qualités à la grande mosquée de la ville Sainte, la Mecque pour y devenir imam. Et il en aimerait y faire une conférence comme celle qu’il fait, ici, au Maroc, dans sa Mosquée, qui illustre la plus grande mosquée du Maroc.